Le Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC) se joint à son partenaire, le Secrétariat aux aînés du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour annoncer aujourd’hui l’octroi de neuf subventions de recherche-action. Celles-ci devraient permettre, à terme, de soutenir les organismes du milieu de même que les décideurs afin de mieux répondre aux besoins des personnes aînées du Québec, en contexte de confinement. Par cet octroi, 1 765 513 $ sont consacrés à cette thématique répondant ainsi aux besoins énoncés dans l’appel de propositions intitulé Programme de recherche-action pour un vieillissement actif de la population du Québec pendant une période de confinement diffusé en juillet 2020 auprès de la communauté scientifique, dans le cadre du programme Actions concertées.
Le FRQSC et le MSSS offrent leurs félicitations aux chercheuses et chercheurs dont le nom, le titre du projet et le montant accordé apparaissent dans ce tableau ainsi que dans notre Répertoire des offres de financement disponible sur la page Résultats de concours 2020-2021.
Renseignements
Marc Bélanger
Responsable de programmes
Fonds de recherche du Québec – Société et culture
418 643-7582, poste 3192
« Il est important pour le FRQSC de s'associer au Secrétariat aux aînés du MSSS afin de trouver des solutions pour favoriser le vieillissement actif dans ce contexte difficile provoqué par l'urgence sanitaire liée à la COVID-19. Les travaux de recherche qui seront menés dans le cadre de ce programme contribueront à améliorer la santé physique et mentale ainsi que la qualité de vie des personnes aînées confinées, quel que soit le contexte. »
« Notre gouvernement est très content de contribuer à l'initiative du Fonds de recherche du Québec – Société et culture avec ces projets de recherche-action pour un vieillissement actif de la population du Québec. La communauté scientifique aura l'opportunité d'expérimenter ou de transformer des pratiques ou des approches développées par les organismes du milieu. Je suis convaincue que les intervenants des organismes œuvrant auprès des aînés acquerront une meilleure connaissance, non seulement pour briser l'isolement social dont peuvent souffrir les aînés, mais aussi pour préserver leur autonomie physique et leurs capacités cognitives. »
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